Matériel pour la pratique de la spéléologie 1er partie

La spéléologie est une activité pluridisciplinaire à forte plus-value éducative, elle allie à la fois des aspects scientifiques, environnementaux, sportifs et de loisirs. Elle a pour objectif l’exploration du karst et des milieux souterrains, naturels, artificiels ou anthropiques. La spéléologie exige une progression et des franchissements pouvant faire appel, selon les cas, à la marche en terrain varié, à la reptation, à la nage, à la plongée subaquatique, à l’escalade, à la descente et à la remontée sur agrès fractionnée ou pas et à d’autres techniques d’évolution sur agrès (main courante, ligne de vie, tyrolienne, échelles fixes, etc.) pouvant nécessiter la mise en œuvre de techniques d’assurances de tous types. L’ouverture de certaines cavités et le franchissement de passages étroits peuvent amener à mettre en œuvre des techniques de désobstruction. C’est un travail d’équipe par excellence. Elle permet de tisser des liens étroits et intenses avec les membres d’un groupe. Elle obéit également à un règlement et un encadrement très strict.

1 – L’ÉQUIPEMENT INDIVIDUEL

L’équipement individuel est l’adaptation de l’individu au milieu naturel de la cavité. Ce milieu n’est pas un environnement hostile, mais n’est pas exempt d’agressions. L’équipement individuel ne doit pas être un bricolage de vêtements et d’outils, mais il doit protéger l’individu de toutes les agressions physiques et thermiques de la cavité. Il ne doit pas être source de problème pour le spéléologue. Au contraire il doit lui permettre d’évoluer facilement et d’exprimer toutes ses possibilités physiques.

Cet équipement doit avoir la confiance du spéléologue, on ne peut pas avoir de doute sur sa résistance et sa fiabilité. L’équipement individuel est un outil qui permet au spéléologue de progresser correctement sous terre. En ce sens il doit faciliter l’évolution et ne doit pas gêner, contraindre, ou préoccuper. Il doit être confortable, adapté aux risques naturels, et aux difficultés techniques.

Matériel pour la pratique de la spéléologie

1.1. Le casque

Présentation :

Il est composé d’une calotte avec trous d’aération, d’une coiffe réglable et d’une jugulaire en V :

Il protège la tête des chutes de pierres ou d’autres objets, mais également des chocs contre les parois (lors de chutes, dans les étroitures, etc.). Excepté dans les étroitures verticales, la jugulaire doit impérativement être fermée pour éviter de perdre le casque en cas de chutes de pierres successives, de mouvements brusques de la tête ou de chutes au sol. Le casque permet la fixation de l’éclairage (éclairage frontal et boîtier de pile).
Important : le dépassement des vis de fixation de l’éclairage doit se faire vers l’extérieur du casque.
L’espace entre la calotte et la coiffe permet le logement d’une couverture de survie, à l’exclusion de tout autre objet pouvant occasionner des blessures.
Entretien :
Il est important de contrôler l’usure du casque, toute fissure de la calotte ou altération de la coiffe (sangle détériorée ou rivet arraché) remet en cause la sécurité. Il faut donc y remédier en remplaçant le casque.

1.2. L’éclairage

Présentation :

L’éclairage mixte monté sur le casque est composé de deux sources de lumière : Un éclairage principal (à acétylène), composé d’un collecteur de gaz (tuyau, pipe), d’un bec, d’un réflecteur, d’un débouche bec et d’un allume gaz qui sont fixés sur le casque, et d’un générateur d’acétylène.

éclairage (à acétylène)
Un éclairage d’appoint composé d’une source lumineuse électrique.

Utilisation :

Il faut connaître l’autonomie de son générateur d’acétylène pour gérer correctement une exploration. Prévoir le complément de carbure nécessaire à l’exploration, plus la marge de sécurité (voir secourisme), prévoir également une ou plusieurs piles de rechange suivant le type d’exploration, ainsi qu’un sac poubelle pour ressortir la chaux de la cavité.

Entretien :

Eclairage principal

Il faut vérifier régulièrement le bon état des principaux éléments (générateur, tuyau, bec, torique). Il est impératif d’avoir sur soi un nécessaires de rechange (bec et joint torique).

Eclairage d’appoint

Il vérifier régulièrement son bon état (cosses, fils électriques, interrupteur, ampoule, contact), et avoir impérativement une ampoule de rechange.

1.3. La combinaison

Présentation : La combinaison est un élément essentiel de l’équipement individuel, puisque c’est elle qui est en contact direct avec l’environnement, froid, agression du rocher,…), et qu’elle doit nous en protéger.

La combinaison est en une seule partie, sans cordelette ou sangle superflue, ceci pour éviter divers problèmes d’accrochage. Elle ne doit pas présenter de tissus flottants pouvant s’introduire dans les appareils de progression. Elle doit être à la bonne taille ce qui évite lors des passages étroits qu’elle se boudine ou s’accroche, et bloque la progression. De plus, trop grande ou trop petite, elle entrave les mouvements et se détériore plus rapidement.

Utilisation :

Il faut adapter le type de combinaison à la cavité et au type d’exploration

– Coton pour les réseaux très chauds.

– Nylon enduit pour les réseaux tempérés.

– P.V.C. pour les réseaux humides.

1.4. Les sous-vêtements

Présentation : Les sous-vêtements doivent être en tissu hydrofuge (ne retenant pas l’eau et séchant rapidement), ils doivent être simples (pas de boutons) et bien ajustés (boudinage).

La sous-combinaison

Tout comme la combinaison, la sous-combinaison doit être d’une seule pièce.

Pour éviter le boudinage, pour un meilleur confort, les reins ne doivent pas être à nu. Elle doit avoir un minimum de coutures et de replis de tissu au niveau du baudrier. Pour les cavités froides, on peut rajouter des polos en tissu hydrofuge.

sous-combinaison

Les chaussettes

En laine épaisse, il est agréable d’en mettre deux paires pour le confort dans les bottes.

On peut aussi utiliser des chaussons en néoprène.

Utilisation : Il faut adapter l’habillement à la température de la cavité : léger pour les cavités tempérées ou chaudes, polaire ou plusieurs épaisseurs pour les cavités froides. On peut prendre des vêtements de rechange pour les cavités aquatiques.




Chaussettes

1.5. Les botte

En caoutchouc, non toilé de préférence (Séchage rapide, pas d’odeur…).

Elles ont une semelle suffisamment crantée حour permettre une adhérence maximum

Les botte

1.6. Les gants

C’est un élément de sécurité pour les néophytes, les gants sont gênants dans la manipulation des appareils. Mais il faut rapidement trouver le modèle adapté à sa main (souple et résistante), afin d’éviter les petites blessures ou coupures qui perturbent l’habileté manuelle dans les cavités humides et froides, il faut choisir des gants en PVC à manchettes longues, pour éviter un refroidissement important.

Les gants

1.7. La couverture de survie

Elle doit faire partie intégrante de l’équipement individuel du spéléologue, elle doit être systématiquement emportée sous terre, le spéléologue doit la porter sur lui et non dans un sac et elle doit être en bon état.

Présentation :

Il existe deux modèles de couverture de survie : légère (facile à loger dans le casque, mais très fragile), et renforcée (modèle réutilisable).

Utilisation :

Permet de supporter des attentes imprévues et évite de se refroidir (position de la tortue), permet aussi de loger dans son emballage du papier et un crayon. sert en cas d’immobilisation forcée à conditionner le blessé Se détériore au contact prolongé avec l’eau, surtout non dépliée.

La couverture de survie

1.8. Harnais ou cuissard

Le harnais

Peut-on considérer que le harnais et le cuissard sont des synonymes et par conséquent qu’ils désignent le même objet ? La réponse est NON : le harnais enserre le torse et le bassin de la personne alors que le cuissard n’enserre que le bassin. Le harnais, et utilisé au travail comme antichute il est adaptés à toutes les situations de travail en hauteur pour cela ils intègrent de multiples points d’attache : Ventral, latéraux, sternal et dorsal Il est donc indéniable que le harnais sécurise mieux le travailleur que le cuissard.

Harnais

Le cuissard

Le cuissard, est utilisé avec un baudrier principalement en alpinisme, escalade, spéléologie et autres sports de ce type

Présentation :

Il est composé d’une sangle de ceinture, des sangles de tour de cuisses, d’un système d’accrochage (boucles métalliques, boucles en sangle ou anneau soudé), des systèmes de réglage de la ceinture, des tours de cuisses et éventuellement de sangles sous fessières.

Il est important d’utiliser un cuissard confortable.

Cuissard

Utilisation :

Le réglage du cuissard se réalise sur soi avec les vêtements communément utilisés pour aller sous terre. Il faut que le cuissard soit parfaitement ajusté de façon à ce que le spéléologue soit en sécurité (bon maintien).

Respecter les notices des fabricants concernant le passage des sangles dans les passants prévus à cet effet.

Il ne faut pas que le spéléologue, au cours d’une manœuvre, quelle qu’elle soit, puisse perdre son cuissard.

Une fois le réglage effectué, coupé l’excès de sangle, en conservant une marge de sécurité (8 cm minimum).

Toute retouche est susceptible d’entraîner l’annulation de la garantie du fabricant.

La fermeture du cuissard se fait à l’aide d’un M.A.V.C (Maillon A Vis de Ceinture). Il existe deux formes : demi-ronde et triangulaire.

Le demi-ronde permet un meilleur positionnement des appareils et des boucles du harnais ces deux modèles existent en acier et en zicral. Il est important que le sens de vissage se fasse de droite à gauche (vu par le spéléologue, matériel sur lui), cela évite que le frottement de la corde ne dévisse la virole lors de la montée.

On ne doit pas fermer le cuissard avec un mousqueton traditionnel car les forces produites par les appareils de progression (descendeur, bloqueur ventral et longes), font qu’il travaille de travers, or il n’est pas prévu pour cela. Certains fabricants commercialisent actuellement des mousquetons spécifiques destinés à cet usage. On peut les employer en respectant les consignes du constructeur.

Entretien :

Surveiller l’état des coutures, il faut impérativement changer de cuissard si les sangles sont usées ou déchirées.

Ne rien coudre ou riveter directement sur le cuissard.

1.9. Le baudrier de torse

Baudrier de torse en huit
Baudrier de torse réglable
Baudrier torse de spéléologie

Présentation :

– Le baudrier de torse est composé d’un anneau de sangle ; on distingue le baudrier de torse en huit ou le baudrier de torse réglable.

Le huit

Avantage : simplicité.

Inconvénients : réglage unique, gêne la respiration car il comprime la cage thoracique dans certains passages, comme les plans inclinés ou étroitures, il n’est pas adapté aux petits gabarits, et douloureux pour les dames.

Le réglable

Avantages : modèle plus adapté que le précédent car il élimine les inconvénients du huit à réglage unique.

Il permet d’adapter la tension du bloqueur ventral dans les plans inclinés, dans les puits étroits ou les grandes verticales.

Il permet d’optimiser le rendement lors de la montée.

Utilisation :

Il permet de maintenir le bloqueur ventral sur la poitrine du spéléologue dans une position verticale.

Torse en huit : mousquetonner la sangle du torse dans le trou supérieur du bloqueur ventral au moment de la montée.

Torse réglable : la sangle du torse est installée dans le trou supérieur du bloqueur ventral au moment de la descente, mais sans tension. Au moment de la montée, tendre le torse (ranger le bout de sangle de tension afin qu’il ne s’introduise pas dans le bloqueur ventral).

Le baudrier de torse en huit

Avantage : simplicité.

Inconvénients : réglage unique, gêne la respiration car il comprime la cage thoracique dans certains passages, comme les plans inclinés ou étroitures, il n’est pas adapté aux petits gabarits, et douloureux pour les dames.

Le baudrier de torse réglable

Avantages : modèle plus adapté que le précédent car il élimine les inconvénients du huit à réglage unique. Il permet d’adapter la tension du bloqueur ventral dans les plans inclinés, dans les puits étroits ou les grandes verticales. Il permet d’optimiser le rendement lors de la montée.

Entretien :

Surveiller l’usure de la sangle, de la boucle de réglage et des coutures.

1.10. La longes

Présentation :

Longes

Deux longes suffisent pour réaliser toutes les manœuvres de la spéléologie moderne en toute sécurité. Le système de longe double en corde dynamique (diamètre minimum 9 mm) dst préconisé. Il se présente sous la forme d’un nœud de huit doubles dont les bouts se terminent chacun par un nœud de huit doubles avec mousqueton.

Longes placer sur le demi-ronde

Le terme de longe comprend la corde dynamique plus le mousqueton. Il faut en aucun cas réaliser de longes en corde statique ou en sangle, car elles ne jouent pas leur rôle d’amortisseur en cas de chute.

Certains fabricants proposent des longes en sangle avec un procédé les rendant dynamiques. Ces longes sont adaptées à la spéléologie, mais il faut vérifier les coutures après une chute (elles ont un inconvénient : leur taille unique).

Les mousquetons de longes sont sans vis, de préférence asymétriques, en alliage d’une résistance supérieure ou égale à 2200kg. En outre ils doivent pouvoir s’ouvrir sous charge.

Ne pas utiliser de mousqueton ultra léger spécifique à l’escalade, car leur domaine d’utilisation est différent.

Ne pas utiliser de mousquetons à doigts coudés car ceux-ci peuvent s’ouvrir et s’échapper de la corde intempestivement, par exemple si la main courante peu tendue fait une boucle.

Les mousquetons sont rendus imperdables de différentes manières :

– A l’aide d’une barrette montée d’origine sur le mousqueton.        

Mais ce système présentant quelques risques ne sera bientôt plus commercialisé.

– A l’aide d’un élastique de chambre à air. Ces montages sont fortement recommandés, ils facilitent l’utilisation de la longe, car le mousqueton est toujours dans le bon sens.

Dans les deux cas, les ganses des nœuds doivent être les plus courtes possibles pour éviter qu’elles ne s’échappent des mousquetons lors d’une fausse manœuvre.

Confection des longes :

On distingue la longe courte et la longe longue.

– La longe courte : doit être suffisamment longue pour pouvoir se longer au fractionnement lors de la montée (cette longueur est dictée par la dimension des appareils) : 41 cm du M.A.V.C à l’ouverture du doigt du mousqueton (voir dessin).

Une longe très courte n’est pas plus sûre et est gênante dans les manœuvres.

– La longe longue : sa longueur maximum est fonction de la morphologie du spéléologue. C’est à dire qu’en tension sur le bloqueur de poignée (relié au bout de la grande longe) le spéléologue doit pouvoir atteindre celui-ci la longueur minimum est dictée par la technique de remontée sur corde : elle ne doit pas limiter vers le haut l’amplitude des mouvements.

Utilisation :

Leur utilisation est indispensable lors de la pratique sur agrès.

Elles se relient au M.A.V.C. par l’intermédiaire du nœud de huit doubles.

Remarque :

Une troisième longe reliant en permanence le bloqueur de poignée au M.A.V.C est superflue et n’apporte aucune sécurité supplémentaire. Elle ne peut qu’ajouter de la confusion dans les manœuvres.

1.11. Le descendeur

Présentation : Il existe différents types de descendeurs en spéléologie, nous citons ici deux modèles : le modèle simple et le modèle à poignée (autobloquant). Ils sont à poulies fixes et ont une flasque mobile avec cliquet pour pouvoir les ouvrir sans les désolidariser du mousqueton.

Modèle simple
Modèle autobloquant

Utilisation : Il convient de connaître l’utilisation et les limites des deux modèles.

Les descendeurs sont solidaires du M.A.V.C par l’intermédiaire d’un mousqueton à vis et s’utilisent impérativement avec un mousqueton de renvoi (de préférence en acier).

Au niveau de l’apprentissage, le descendeur simple doit être préféré au modèle à poignée, car ce dernier mobilise les deux mains et sa manipulation est plus complexe. Une erreur de manœuvre peut entraîner la chute (crispation sur la poignée). L’utilisation de la poignée comme frein est à proscrire car elle altère les cordes (vitrification, ovalisation) ; elle est uniquement utilisée pour s’immobiliser sur la corde.

Pour un arrêt prolongé ou délicat (planté de spit ou pendule), il faut faire une clé d’arrêt, quel que soit le modèle.

Le descendeur simple est facile à utiliser en toutes situations. Le descendeur à poignée est réservé à des spéléologues autonomes conscients des limites de l’appareil.

Entretien : Surveiller l’usure des poulies qui peuvent être tournées une première fois, ensuite elles doivent être changées (ne pas attendre de voir la vis de fixation de la poulie pour la tourner ou la changer). Surveiller également l’usure générale (flasques, cliquet, vis).

1.12. Le bloqueur ventral ou dit Croll

Utilisation :

Croll
Bloqueur ventral (Croll)

Le bloqueur ventral est utilisé pour la remontée, il est fixé sur le M.A.V.C. Même s’il ne sert pas pendant la descente, il doit rester à la même place pour permettre d’éventuels changements de progression ou d’éventuelles interventions sur un équipier.

La pratique qui consiste à placer le bloqueur ventral dans le sac à la descente est stupide et dangereuse.

Entretien :

Vérifier l’usure des picots qui permettent le blocage sur la corde.

Vérifier l’usure du corps qui peut devenir tranchant au point de sortie de la corde.

Vérifier l’usure de la gâchette et de l’axe.

Vérifier l’usure du trou de fixation au M.A.V.C.

Le refermer hors utilisation.

1.13. Le bloqueur de poignée

Il existe les bloqueurs simples et les bloqueurs à poignée.

Bloqueur à poignée
Bloqueur simple

Si les premiers ont l’avantage de leur faible encombrement, les seconds ont celui d’une meilleure prise en main. Les deux présentent les mêmes garanties de sécurité.

Il faut éviter de choisir des modèles exotiques proposés par certains fabricants où le blocage sur la corde se fait par un jeu de biellettes et de cames.

Utilisation :

Il est solidaire de la pédale par l’intermédiaire d’un mousqueton à vis.

Entretien :

Vérifier l’usure des picots qui permettent le blocage sur la corde.

Vérifier l’usure du corps qui peut devenir tranchant.

Vérifier l’usure de la gâchette et de l’axe. Le refermer hors utilisation.

Remarque : Il existe des bloqueurs à poignée pour gaucher.

1.14. La pédale

Présentation :

La pédale

Il s’agit d’une cordelette statique d’un diamètre minimum de 5,5 mm avec un nœud à une extrémité permettant de l’accrocher au mousqueton à vis du bloqueur de poignée ; à l’autre extrémité deux boucles (nœud en Y) permettant de positionner les pieds. Il ne faut pas qu’il y ait de nœud intermédiaire car cela empêche de l’utiliser pour le dégagement d’équipier. La longueur de la pédale doit être telle que, jambe tendue, le bloqueur de poignée se positionne juste au-dessus du bloqueur ventral.

l’utilisation de la pédale

Utilisation :

Sert à la poussée des pieds lors de la montée et dans une méthode de dégagement d’équipier sur corde. Peut aider dans certains passages aériens de fractionnement et de main courante.

Entretien : Surveiller l’usure, surtout la ou les boucles inférieures (frottement de la corde de progression).

1.15. Le bloqueur de pied

Utilisation :

Bloqueur de pied
Bloqueur de pied installer

Appareil facultatif, sur le principe d’un bloqueur ventral ou de poignée, le bloqueur de pied va aider considérablement lors de la montée (économie d’énergie, rapidité), et aux passages d’étroitures verticales ou en sorties de puits étroites.

Entretien :

Surveiller l’usure générale (sangles, gâchette, corps).

Remarque :

Il ne remplace pas l’utilisation des bloqueurs de poignée et de poitrine.

1.16. La montre

Une montre et toujours utiles surtout pour consulter le temps passer l’or de l’exploration d’une grotte.

1.17. Le couteau

Il faut Toujours porter un couteau sur soi, par exemple autour du cou, lorsque l’on travaille sur corde !

1.18. La clé de 13m

Pour visser et dévisser les écrous 13mmdes plaquette spéléo

1.19. La cordelette autobloquante

Utilisés pour réaliser un nœud autobloquant

2 commentaires

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