Rapporte d’explorations de la régirent de RAS EL-DJEBEL

Membres Participant : DJEGHIM Chaouki

                                     BENOIDEN Abdallah

 OBJET : Exploration et topo des grottes

                        De RAS EL-DJEBEL

Au départ de Constantine, le bût été dure à atteindre, a cause du poids de nos sacs à dos, malgré la réduction du matériel, heureusement qu’un taxi nous a pris à la SNTV sans demander de l’argent a l’arrivée, nous avons pris un autre taxi, pour Chelghoum Laïd dont le tarif été 25 DA la personne, une fois arrivés, nous avons acheté des provisions ainsi que des piles pour le Flash, et on a repris la route pour Bouhatem ex (Aïn Trik), là à l’arrivée on s’est dirigé directement au poste de gendarmerie, pour signaler notre présence au cas où, avec deux sacs pour chacun, et 3 KM de route, cette dernière nous a semblé la plus longue, mais ça nous a pas découragées.

Les habitants du village étaient très aimables, pas d’ennuis de leur côté, sauf quelques ouvriers d’une carrière attirés par leur curiosité.

Une fois arrivé au lieu du campement, on s’est installé, nous décidâmes d’entamer le travail que la journée suivante, après un court instant de repos, l’escalade s’est effectuée pour admirer le coucher du soleil, soudain des dizaines de chauves-souris sortaient de la grotte il y avait même quelques-unes qui voltigées au-dessus de nos têtes on s’est vite endormis. Première journée de notre expédition, on s’est levé très tôt, la préparation du matériel nous a pris du temps destiné au topo de Ghar Adbaa, l’immensité de cette grotte nous a fallu beaucoup de temps pour topographier 189 m de sa profondeur.

GHAR-ADBAA

HISTOIRE

De 1954 à 1962, la grotte était un refuge pour les MOUDJAHIDINES qui ont poussé l’armée française à dynamiter l’entrée, est utilisé des gaz dans la grotte pour déloger les MOUDJAHIDINES.

En 1982, un jeune homme de la région chasser les pigeons, qui se trouve la plus par du temps a l’entrée des grottes, et dans l’une d’elles il s’est trouvé conduit par sa curiosité, soudain l’aspect d’un corps est apparu, après recherche ; Nom : Cherchel ; Prénom : Ahmed.

Etoile et croissant de lune gravé dans la grotte par le sang

En 1987 l’équipe de la spéléologie de la maison de jeunes de Constantine, a trouvé des dessins et des écritures, l’une d’elles mentionnées «GREVE POUR MA PART ». En 1989 l’expédition mixte entre A B et le CLUB SMC, à découvert que la grotte dar-el-Barda et dar-Adbaa communiquées entre elles avec des puits après le 2ème lac ainsi que d’autres passage et chemins différents.

L’année de l’expéditionsClubsNombre des membresTopo effectuer Observation
1987Spéléo club Constantine340.mRien
1988Spéléo club Constantine020.m
1988Spéléo club Constantine 030.mDécouverte d’une nouvelle galerie dans la grotte de Ghar Edbâa
1989 Spéléo club Constantine et
L’association de spéléologie de Boufarik
05103mDécouverte du contacte entre Ghar Edbâa et Dar El Barda
1990 Spéléo club Constantine 02189mRien

MORPHOMETRIE

La profondeur topographiée est de 292m, cette distance élimine les puits ainsi que d’autres passages non topographiés, comme Ghar Erih ou se trouve le 2ème lac, et Ghar Etaine.

MORPHOLOGIE

L’accès est impossible à l’ancienne entré à cause des blocs résultant de la dynamisation durant la guerre.

Présence à grande quantité des stalagmites et des stalactites présence aussi des blocs interdisant des accès à l’intérieur de la grotte.

Présence de l’oxyde de fer, du carbone sur les côtés et le plafond, ainsi que l’argile rouge a grande quantité, guano et des cristaux.              

BIOSPELEOLOGIE ET CLIMAT

Température est de 9° c, présence de faible quantité d’humidité à cause des courants d’air circulant de dar-el-barda jusqu’à ghar-adbaa.

Présence de gouanobies, est d’autre insectes, présence aussi des chauves-souris.

Le 22 et 23/08/90

Après un dur réveil, on a pris notre petit déjeuner, après direction Ghar Edlam pour faire sa topographie, au cours de notre route, on a jeté un coup d’œil à Ghar Dar El Barda, en profitant de l’occasion, le photographe a pris des photos, juste après l’expédition s’est poursuivie, à l’arrivée on s’est mis en travail, le dérangement été présent par des jeunes habitant les environs, on les a renvoyés avec politesse.

GHAR ELDLAM

HISTOIRE

La présence d’ossements et des fragments de porterie, vu le manque d’information et de moyens pour l’étude, on a préférez-les laisser surplace, d’après l’histoire des gens, cette grotte est plus longue qu’on le croie parce qu’ils disent qu’il y a un passage secret, qu’on n’a pas pu localiser, après l’avoir soigneusement cherché.

MORPHOMETRIE

Sa profondeur est de 246 m, la largeur entre 10 et 12 m, la hauteur varie de 2 à 8 m.

MORPHOLOGIE

Absence totale de stalactites et des stalagmites, par contre il y a présence de gouttelettes d’eau, présence de guanos en grande quantité ainsi que des pigeons.

BIOSPELEOLOGIE ET CLIMAT

Les caractéristiques de la grotte, elle est très sale, odeur intolérable règne dedans, présence de guanobies et de chauve-souris, et des araignées en grande quantité. Après la fin du travail, le retour vers le campement, un instant de reposte entre autres étés nécessaires, on a constaté qu’a manqué d’eau, l’un de nous c’est la source qui se trouve dans la grotte. Le 23 c’est-à-dire le jour suivant, on s’est levé tôt, après le petit déjeuner en a rassemblé nos affaires, la surprise ; 3 enfants apparurent deux filles et un garçon (des bergers), ont les à inviter à prendre le petit déjeuner, et pendant la conversation ils nous ont parlé d’autres grottes qu’on ne connaisse pas, et l’une d’elles s’appeler Ghar plutôt Dar El Skhouna, avant que nous partîmes on leur avait donné tout ce qui nous restait de provisions.

CONCLUSION
La spéléologie, nous a appris à prendre contrôle de nous-mêmes ça a pris du temps mais se rendre compte c’est l’essentiel. Les connaissances minimes qu’on a acquises nous ont permis de changer notre vision en la nature c’est-à-dire le monde du silence est de l’obscurité.
Cette expédition que nous venons d’effectuer, restera dans nos mémoires comme tous les autres expéditions au point de vue scientifique, culturel, et aventure au 3e degré. En respecte la nature que si en la voie tell qu’elle est.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *