Armer de mon matériel accompagné de mon fils Salâh Ad-Dîn de beau matin de ce 28 novembre 2014 direction exploré celle qui a hanté mon esprit.
Mais avant tout, je tiens à remercier infiniment Mr Kassimi Rachid et Mr Kermani Mourad et surtout ce dernier à qui je porte un grand estime, l’un des proprios de l’hôtel un homme compréhensif qui aime Constantine avec qui j’ai longtemps discuté sur l’éventualité d’une probable réouverture de cette grotte au public. Et je tiens aussi à lui présenter tout mais excuses de n’avoir rien pu faire pour cela.
Bref
En relevant la planche qui cache l’entrée tout une ruée de moustique et des petites mouches se sont envolés avec elle une odeur de soufre nauséabonde d’où vient-elle ? Je n’en sais rien ! En tout cas pas encore. Petite à petite j’entamais ma descente avec précaution afin d’éviter toute chute probable de pierre ou de morceaux de ferraille de ces escaliers en colimaçon qui donné sur la grotte car elle était tellement en état de délabrement que j’ai dû descendre tout seul la première foi pour minimiser les risques et ne pas mettre mon fils aux dangers que je risque de rencontre dans cette descente.
Impossible de mettre le pied sur les six premières marches il a fallu descendre avec la corde en rappel jusqu’à la septième marge là on peut facilement avoir un pied dans du solide, en voulant s’agripper à la rampe en fonte pour me mettre à l’aise et prendre une position de sécurité. Crack elle s’est cassé dans ma main, mon cœur s’est mis à battre très fort heureusement que je ne l’ai pas pris de force c’était sans compter dessus.
Arriver à la dix-septième marche un risque plus grand me rencontrer. La dix-huitième et dix-neuvième marches étaient inexistantes elle éteint tous deux casser net, comme si on les a arrachés volontairement pour restreindre l’accès à la grotte. Avec une manœuvre un peu délicate et l’aide du matériel de la Spéléo j’ai pu passer à la vingtième marche, celle-là elle était large comme un petit palier au-dessus d’elle un petit bassin alimenté par deux corniches a même la paroi du puits, un collecteur d’eaux son doute une petite excentricité, jadis pour les visiteurs pour boire ou se désaltérer du temps de sa gloire, ce bassin-là était une autre surprise car il n’est mentionné dans aucun des rares écrites sur cette grotte que j’ai trouvée.
Au fur et à mesure que je descende je constatais une pollution et une dégradation du chemin par les jets de bouteilles et d’autres venons de la surface ainsi que la présence de la terre et de la boue sur l’escalier, par endroits ont voix des mures en brique plain bouchon des parties du gouffre alors que d’autres laisser tel qu’elles nous montrent de magnifiques cristaux qui composent la majorité des grottes de Constantine et surtout de cette cavité.
En s’approchons petit a de la fin de cet escalier. J’entends le bruit des gouttelettes d’eau tombante dans le lac mon cœur de plus en plus palpitant j’entame les sept dernières marches battues en brique plein, à côté d’elle à droite un collecteur d’eau usée genre fosse septique à ma gauche un petit mur séparons la grotte de son couloir d’une longueur de 6m avec une voûte qui s’élevait au fur et à mesure qu’en avance vers le bord du lac, à mi-chemin a droit une coulée d’eaux usée sorte de la roche et se diverse directement dans le lac.
Là j’ai compris d’où viennent les odeurs et l’humidité qui sorte du puits.
Il n’y a aucune trace du poisson aveugle ou de la braque juste des une planche pourrie pour le moment !?
Juste le temps de faire un petit constat de prendre des photos, et le prélèvement de l’eau, car l’important reste à faire avec le spéléo club d’Alger programmer pour venir à Constantine le 05/12/2014.
Ah. Pour ne pas oublier j’ai essayé de sonder la profondeur du lac en mettant une lampe dans un bocal en verre fermé hermétiquement et lester de pierre pour l’alourdir afin qu’elle coule au bout d’une longue ficelle mais ça n’a pas marché. Et me voilà sur le chemin inverse ver la sortie.
Sortie après 1h ½ je trouve Mourad qui m’attend impatient de savoir ce que j’ai découvert, le temps de lui raconter et de changer j’ai ramassé mon matériel et me voilà en retour chez moi.
Sur la route du retour j’ai téléphoné à mon ami Belaoud Mohamed l’un des fondateurs du spéléo club d’Alger lui annonçons la bonne nouvelle en attendant leurs arriver une semaine après.
À suivre…
Par/ Djeghim Chaouki
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